10 mythes sur la menstruation Chaque mère devrait discuter avec ses filles
10 mythes sur les menstruations dont chaque mère devrait discuter avec ses filles
Bien que la menstruation soit un processus naturel et courant, il existe encore de nombreuses communautés qui ont des idées fausses et des croyances dépassées à ce sujet. Par exemple, certains pensent que toucher un bocal de cornichons ou préparer des sushis pendant les menstruations peut gâcher la nourriture. D’autres pensent que le fait d’entrer dans un temple, de se baigner avec des membres de sa famille ou de boire du lait de vache pendant les menstruations peut avoir des effets négatifs. Dans les cas extrêmes, les femmes sont isolées dans des abris sombres, à l’écart des autres, pendant toute la durée de leurs règles.
Ces croyances peuvent sembler absurdes pour beaucoup d’entre nous, mais malheureusement, elles sont encore répandues dans certaines parties du monde. Même dans les pays occidentaux, il existe des mythes et des idées fausses sur les menstruations qui ont été transmis de génération en génération, perpétuant de fausses croyances et la stigmatisation.
Il est essentiel de faire la différence entre la réalité et la fiction pour créer un environnement plus sûr et mieux informé pour les menstruations. En nous éduquant et en éduquant nos filles sur les faits, nous pouvons aider à dissiper les mythes, à promouvoir la clarté et à favoriser la confiance. Il est essentiel de remettre en question ces idées fausses et d’œuvrer pour un monde où les menstruations sont comprises et acceptées sans stigmatisation ni discrimination.
MYTHE N°1 : LES MENSTRUATIONS SONT SALES
L’idée fausse selon laquelle les règles sont sales ou impures est une croyance répandue qui se manifeste de diverses manières dans le monde entier. Cela peut aller de remarques désinvoltes de dégoût lors de discussions sur les règles à des pratiques culturelles plus extrêmes. Par exemple, dans l’ouest du Népal, la tradition du Chhaupadi, aujourd’hui interdite, exigeait que les personnes menstruées soient isolées dans des hangars à l’extérieur de leur maison parce qu’elles étaient considérées comme « impures ».
En réalité, les menstruations ne sont ni impures ni sales ; Il s’agit simplement d’une fonction corporelle naturelle. Au cours d’un cycle menstruel, le corps se débarrasse de la muqueuse de l’utérus, qui comprend du sang et des tissus supplémentaires qui ont été préparés pour une grossesse potentielle. Lorsque la grossesse ne se produit pas, cette muqueuse n’est plus nécessaire et est expulsée du corps.
Il est important de remettre en question l’idée que les menstruations sont sales ou impures et de les reconnaître plutôt comme un processus normal et sain. En promouvant l’éducation et la compréhension, nous pouvons briser la stigmatisation entourant les règles et créer une société plus inclusive et informée.
MYTHE N° 2 : LES RÈGLES DOIVENT RESTER PRIVÉES ET NE PAS ÊTRE DISCUTÉES
Contrairement à la croyance populaire, la menstruation est une fonction corporelle naturelle et routinière qui se produit chez de nombreuses personnes. Ce n’est pas quelque chose qui devrait être entouré de secret ou de tabou. Les menstruations ne sont pas sales, elles n’entravent pas les activités quotidiennes telles que la fréquentation de l’école ou la pratique d’un sport, et ce n’est pas quelque chose de mystérieux ou de honteux.
Comme toute autre fonction corporelle, les règles n’ont pas besoin d’être cachées ou réduites au silence. Bien qu’il soit compréhensible que certaines personnes préfèrent garder leurs affaires personnelles privées, il est important de remettre en question l’idée que les règles devraient être une source de honte. Des discussions ouvertes et de l’éducation sur les menstruations aident à briser la stigmatisation et à créer un environnement plus favorable et inclusif pour tous.
En normalisant les conversations sur les règles et en promouvant l’éducation à la santé menstruelle, nous pouvons donner aux individus les moyens d’embrasser leur corps et d’éliminer la honte et le secret inutiles qui entourent les menstruations.
MYTHE N° 3 : LES RÈGLES DEVRAIENT TOUJOURS DURER UNE SEMAINE
Il est important de comprendre que les cycles menstruels peuvent varier considérablement d’une personne à l’autre. Bien que certaines personnes puissent avoir des règles qui durent environ une semaine, il est tout à fait normal que les règles soient plus courtes ou plus longues. Le « cycle de 28 jours » couramment mentionné n’est qu’une moyenne, et de nombreuses femmes n’ont pas de cycles réguliers de manière constante.
Des facteurs tels que l’âge, les changements hormonaux, le stress et les problèmes de santé sous-jacents peuvent influencer la durée et la régularité des cycles menstruels. Pour les jeunes adolescentes, il est courant d’avoir des règles irrégulières, car leur corps est encore en train de s’adapter et d’établir un schéma régulier. Lorsque les femmes atteignent l’âge adulte, une période « régulière » peut durer de 21 à 35 jours.
Il est essentiel de reconnaître et de respecter les variations individuelles des cycles menstruels et de ne pas imposer d’attentes rigides sur la durée des règles. Si vous avez des inquiétudes quant à la longueur ou à l’irrégularité de votre cycle menstruel, il est toujours conseillé de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des conseils et un soutien personnalisés.
MYTHE N° 4 : VOUS PERDEZ UNE QUANTITÉ IMPORTANTE DE SANG PENDANT VOS RÈGLES
Contrairement à la croyance populaire, la quantité de sang perdue pendant une période menstruelle est souvent beaucoup moins élevée qu’on ne le pense généralement. En moyenne, les femmes ne perdent qu’environ 2 à 3 cuillères à soupe de sang pendant leurs règles. Même pour ceux qui ont des saignements plus abondants, connus sous le nom de ménorragie, la quantité ne dépasse généralement pas 4 cuillères à soupe.
Il est important de noter que les règles abondantes, bien qu’elles n’indiquent pas nécessairement un problème, peuvent être perturbantes et nécessiter des soins médicaux. Si vous avez besoin de changer de serviettes ou de tampons plus fréquemment que toutes les quelques heures, si vous saignez pendant une période prolongée (au-delà de sept jours) ou si vous présentez des symptômes d’anémie, il est conseillé de consulter un professionnel de la santé.
Ils peuvent évaluer vos symptômes, évaluer les causes sous-jacentes potentielles et fournir des conseils et des options de traitement appropriés pour gérer efficacement les saignements menstruels abondants. N’oubliez pas qu’il est important de consulter un médecin pour assurer votre bien-être et répondre à toutes les préoccupations que vous pourriez avoir concernant votre santé menstruelle.
MYTHE N° 5 : LE SANG MENSTRUEL A UNE ODEUR NAUSÉABONDE
C’est une idée fausse courante que le sang menstruel a une mauvaise odeur. En réalité, le sang menstruel lui-même n’a pas d’odeur. Il est composé de sang et de tissu utérin qui se détache pendant les menstruations. Lorsqu’il est exposé aux bactéries naturellement présentes dans le vagin et mélangé à l’air, il peut développer une odeur légèrement différente, mais il est très peu probable que d’autres puissent le détecter. Avez-vous déjà été capable de sentir quand quelqu’un d’autre avait ses règles ? Probablement pas.
Il est important de noter que chaque personne a son propre parfum unique et que l’odeur vaginale peut varier d’une personne à l’autre. Le vagin a son propre arôme naturel qui est influencé par des facteurs tels que l’alimentation, les pratiques d’hygiène et les fluctuations hormonales. Contrairement à ce que certaines publicités peuvent suggérer, les vagins n’ont pas besoin de sentir les fleurs. Le maintien d’une bonne hygiène en prenant une douche ou un bain quotidien est généralement suffisant.
Cependant, si vous remarquez une forte odeur de poisson ou toute autre odeur inhabituelle accompagnée de démangeaisons, d’irritation ou d’écoulement inhabituel, cela peut indiquer un problème sous-jacent tel qu’une infection à levures ou une vaginose bactérienne. Dans de tels cas, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé pour un diagnostic et un traitement appropriés. N’oubliez pas qu’il est normal que le vagin ait sa propre odeur, mais tout changement important ou odeur préoccupante doit être traité par un professionnel de la santé.
MYTHE N° 6 : LE SYNDROME PRÉMENSTRUEL EST IMAGINAIRE OU PSYCHOLOGIQUE
Le syndrome prémenstruel (SPM) est une affection réelle et courante qui touche de nombreuses filles et femmes. Elle se caractérise par une gamme de symptômes physiques et émotionnels qui surviennent généralement une à deux semaines avant les menstruations. Ces symptômes peuvent inclure de l’acné, des ballonnements ou une prise de poids, des maux de tête, des douleurs articulaires, des fringales, des sautes d’humeur, de la dépression, de l’irritabilité, de l’anxiété et une sensibilité des seins. On pense qu’ils sont influencés par les niveaux fluctuants d’œstrogène et de progestérone pendant le cycle menstruel.
Les gynécologues reconnaissent que la plupart des filles et des femmes éprouvent au moins un symptôme du syndrome prémenstruel chaque mois. La gravité et les symptômes spécifiques peuvent varier considérablement d’une personne à l’autre. Le syndrome prémenstruel n’est pas simplement « tout dans la tête », mais une véritable réponse physiologique aux changements hormonaux dans le corps.
Il est important de reconnaître et de traiter les symptômes du SPM, car ils peuvent avoir un impact significatif sur le bien-être et le fonctionnement quotidien d’une personne. Si vous ressentez des symptômes perturbateurs ou pénibles, il est conseillé de consulter un professionnel de la santé qui pourra vous guider et vous suggérer des stratégies de prise en charge appropriées.
MYTHE N° 7 : NAGER PENDANT SES RÈGLES ATTIRE LES REQUINS
Contrairement au mythe selon lequel nager pendant vos règles attire les requins, il n’y a aucune preuve à l’appui de cette affirmation. Les requins ne sont pas spécifiquement attirés par le sang menstruel, et la quantité de sang généralement perdue au cours d’une période n’est pas assez importante pour attirer leur attention.
En fait, nager pendant vos règles est parfaitement sûr et ne devrait pas être une source d’inquiétude. Lorsque vous êtes dans l’eau, la pression de l’eau peut en fait aider à empêcher le flux menstruel d’entrer dans l’eau. De plus, l’utilisation de produits tels que des tampons ou des maillots de bain menstruels conçus pour les règles peut offrir une protection supplémentaire contre les fuites. Si vous êtes vraiment préoccupée par les attaques de requins pendant la baignade pendant vos règles, vous pouvez porter des mail 012753 lots de bain menstruels Beautikini .
Il est important de se rappeler que le sang menstruel est un mélange de tissus, de mucus et d’une petite quantité de sang, et qu’il n’est pas considéré comme impur ou insalubre. De bonnes pratiques d’hygiène, telles que l’utilisation de produits menstruels appropriés et le maintien de bons soins personnels, peuvent aider à assurer le confort et la confiance lorsque vous nagez ou pratiquez des activités aquatiques pendant vos règles.
MYTHE N° 8 : LA SYNCHRONISATION DES RÈGLES ENTRE AMIS EST RÉELLE
Contrairement à la croyance populaire, il n’existe aucune preuve scientifique à l’appui de l’idée que les cycles menstruels se synchronisent entre amis ou personnes qui passent beaucoup de temps ensemble. Une étude menée il y a quelques années a démystifié la notion de synchronisation des règles, révélant que les variations de la durée des cycles sont plus probablement la raison pour laquelle certaines personnes peuvent se retrouver menstruées en même temps que leurs amies.
Bien que l’idée de la synchronisation des règles puisse être intrigante et même amusante à penser, il est important de s’appuyer sur des preuves scientifiques. Le moment des cycles menstruels est influencé par les schémas hormonaux individuels et non par des facteurs externes comme la lune ou la proximité d’autres personnes menstruées.
Comprendre les faits sur les cycles menstruels peut aider à dissiper les idées fausses et à promouvoir des informations précises sur ce processus corporel naturel.
MYTHE N° 9 : ÉVITEZ DE FAIRE DE L’EXERCICE PENDANT VOS RÈGLES
Contrairement à la croyance populaire, il n’est pas nécessaire d’éviter de faire de l’exercice pendant vos règles. En fait, la pratique d’une activité physique peut être bénéfique et aider à soulager les symptômes associés au syndrome prémenstruel et aux crampes menstruelles. L’exercice augmente le flux sanguin et l’apport d’oxygène aux muscles, ce qui peut aider à réduire l’inconfort et à favoriser le bien-être général pendant cette période.
Il est important d’écouter votre corps et de choisir des exercices avec lesquels vous vous sentez à l’aise. Des exercices légers à modérés tels que la marche, la natation, le yoga ou l’aérobic à faible impact peuvent être d’excellents choix. Cependant, si vous ressentez une douleur ou un inconfort intense, il est conseillé de consulter votre fournisseur de soins de santé pour obtenir des conseils personnalisés.
N’oubliez pas que rester actif et maintenir un mode de vie sain peut contribuer à une meilleure santé menstruelle et à un bien-être général tout au long de votre cycle.
MYTHE N° 10 : PARLER À VOTRE FILLE DE SES RÈGLES AVANT QU’ELLE NE COMMENCE LUI FERA PEUR
Contrairement à ce mythe, une communication ouverte et favorable sur les règles avec votre fille avant qu’elle ne commence à avoir ses règles est cruciale et peut en fait atténuer la peur et l’anxiété. En lui fournissant des informations précises et en répondant à toutes ses questions ou préoccupations, vous pouvez lui donner les moyens de naviguer dans ce processus naturel avec confiance et compréhension.
Commencer la conversation sur la puberté et les règles à un âge précoce, généralement dans les années d’école primaire, permet une éducation progressive et adaptée à l’âge. Cette discussion continue aide à normaliser les menstruations et prépare votre fille aux changements physiques et émotionnels qui l’accompagnent.
En lui présentant des produits liés aux règles, tels que Beautikini Culottes prémenstruelles, vous pouvez l’aider à se sentir plus à l’aise et mieux préparée à l’arrivée de ses premières règles. Ces sous-vêtements spécialisés peuvent vous apporter la tranquillité d’esprit et éliminer les inquiétudes concernant les fuites potentielles.
N’oubliez pas qu’une communication ouverte et solidaire favorise une attitude saine à l’égard des menstruations et fournit à votre fille les connaissances et les outils dont elle a besoin pour gérer ses règles en toute confiance.
Si votre adolescent est à un âge approprié, il est important d’avoir des discussions ouvertes et honnêtes sur les relations sexuelles. Aborder les idées fausses sur la grossesse et les règles est un élément crucial de cette conversation. Bien qu’il soit moins probable de tomber enceinte pendant vos règles, c’est toujours possible. L’ovulation peut être imprévisible et la durée des cycles menstruels peut varier.
En fournissant des renseignements exacts sur la santé reproductive et en insistant sur l’importance de la contraception, vous pouvez aider votre adolescente à prendre des décisions éclairées et à comprendre les risques potentiels associés à l’activité sexuelle à tout moment de son cycle menstruel.
Encourager un comportement sexuel responsable, y compris l’utilisation de la contraception pour prévenir les grossesses non désirées, est essentiel pour leur bien-être général et leur santé reproductive future.
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